Notre vie sexuelle, nos moments intimes, notre rencontre, nos découvertes. Ma vie avec une coquine asiatique qui n'a peur de rien!

samedi 25 février 2012

Webcam surprise


Après une semaine de ce régime, je suis rentré à Paris avec:
- un niveau d'énergie proche de 0.
- le moral en berne.
- la furieuse envie de repartir à Tokyo aussi sec (comme disait Francis Blanche"Je suis allé à Béziers, et j'en suis revenu avec une furieuse envie").
- l'appareil photo numérique bourré de photos d'Aiko dans pleins de positions très excitantes, car la belle adore se faire prendre en photo (et se faire prendre tout court aussi)

J'était tombé gravement amoureux, et pas uniquement en raison de nos ébats passionnés.

Je vais quand même vous présenter celle qui allait devenir ma femme en quelques mots:
- Nom: Aiko (c'est son deuxième prénom, la discrétion veut que je ne donne pasle premier, mais il se termine aussi en -ko, qui veut dire "fille de" en japonais)
- Age: 22 ans en 2003, quand je l'ai rencontré. Pour ma part, j'en ai 10 de plus.
- Taille: 1 mètre 56
- Poids: 44 kilos
- Cheveux: noirs, raides, mi-longs
- Yeux: bruns foncés
- Talents: le chant (folle de karaoké comme beaucoup d'asiatiques) / les langues (pour les parler) / le sexe sous toutes ses formes
- Etudes : secrétariat
- Vit chez ses parents en attendant de se marier, comme beaucoup d’office ladies.
- Taille du soutien-gorge : 85B
- Positions préférées : toutes, mais vous apprendrez tout dans la suite de ce blog.
- Pays visités : aucun encore, à ce moment là de notre histoire.
- Expériences sexuelles avant moi : 2 garçons, dont une relation de 8 mois. Aucune fille, pas de sodomie, pas de triolisme. Fréquentes masturbations dès 15 ans.

Pendant quelques semaines, mauvais temps à Paris aidant, je traînais un cafard d’enfer. Et nos chats quotidiens, voire plusieurs fois par jour, ne me sortaient que rarement de mon état quasi-dépressif.

Elle a alors eu une idée super, que je m’en suis voulu de ne pas avoir eue avant elle. Un samedi, quand nous avons commencé à chatter (il était 10h du mat’ pour moi, et 16h pour elle), elle m’a dit avoir acheté une webcam, et m’a demandé, via MSN, d’accepter la liaison par webcam. Quand la fenêtre de la webcam est apparue sur mon écran, oh joie, j’ai vu mon Aiko presque nue, ne lui restait qu’un joli soutif blanc, avec de petites dentelles, et une queue de cheval(souvenirs, souvenirs).

Quand elle a vu que je m’étais enfin connecté, un grand sourire a envahit son visage. J’étais accro !Le lundi je fonçais à la FNAC Ternes pour m’acheter moi aussi une webcam, et un soutif (non, finalement, que la webcam, pas le soutif). Je vous passe sur les possibilités de tels appareils sur le plan de l’excitation mutuelle, surtout quand la personne vous manque terriblement, mais Aiko n’était jamais à cours d’imagination pour sans cesse renouveler l’intérêt de ce dispositif, le seul frein étant, la plupart du temps, la présence de ses parents dormant dans une pièce à côté (en effet, à part le week-end, je me connectais le plus souvent en rentrant chez moi après le taf vers 19h, il était donc plus d’une ou deux heures du mat’ au Japon. Ceci dit, je soupçonne que ce léger inconvénient excitait encore plus cet amour de petite cochonne).

Cela donnait donc, selon les jours :
- strip-tease sur musiques diverses et variées (de la pop japonaise le plus souvent) quand les parents n’étaient pas là.
- Enlevage de soutif, puis Aiko se caressant les seins sensuellement, en fixant
la webcam.
- Simulacre de pipe sur fruits et légumes toujours plus improbables.
- Masturbation sur le lit, les jambes grandes ouvertes, ou ‘en grenouille’, la caméra bien cadrée sur sa petite chatte.

Une session toutefois a marqué mon esprit, et vous allez vite comprendre pourquoi.

C'était un week-end, vers mai, les parents d'Aiko s'étaient rendu à Kobe voir de la famille, autant dire qu'on a passé notre weekend en face de nos webcams respectives. Dès le samedi matin (pour moi), elle m'a annoncé une surprise, mais je devais attendre le dimanche après-midi. En clair, elle allait passer le weekend à me chauffer à blanc. J'ai évidemment essayé de la faire craquer, de lui soutirer le secret, j'ai joué l'affectif, le chantage, j'ai même promis de faire tout ce qu'elle voulait à travers la webcam pour qu'elle abrège ma souffrance, car oui, je suis curieux, et la connaissant, je suis sur que la surprise valait le coup.

En fin connaisseuse des hommes, et des tortures asiatiques, elle n'a rien cédé, et j'ai du attendre le dimanche, à 15h pile, pour enfin savoir. A l'heure dite, elle est allée dans le placard chercher une boite, d'environ 40 centimètres de longueur. Elle est a sorti un magnifique vibromasseur, de couleur chair, veines apparentes, d'une taille, je le pensais, impressionnante pour l'étroitesse de son vagin. Puis elle s'est déshabillée, de façon neutre (sans faire de strip-tease sexy), et a réglé sa webcam sur le lit.

Elle s'y est allongée, et a ouvert grand les jambes. Après s'être préparée manuellement, 1 doigt, 2 doigts puis trois doigts, elle a commencé à s'introduire le godemichet petit à petit, centimètre après centimètre, et, une fois enfoncé à moitié, l'a ressortit et a entamé un lent va-et-vient dans sa chatte. Elle a jouit bruyamment en quelques minutes, puis s'est rassise sur le lit, et a nettoyé le gode avec sa bouche.

Toujours aussi cochonne, ma petite Aiko. Elle s'est alors mise à quatre pattes, cul vers la caméra, et a passé une main entre ses jambes. Après avoir un peu frotté son sexe, elle a remonté un doigt vers son anus. Il faut vous dire que je ne lui avais jamais proposé de l'enculer, on n'en avait même jamais parlé. Pour être franc, je n'avais alors jamais sodomisé une femme.

Mais revenons à ma jolie nippone. Après avoir titillé son trou du cul du bout de son doigt, le majeur, elle l'a lentement enfoncé dedans, visiblement avec peine (j'entendais ses gémissements). Ca a duré 1 à 2 minutes. Elle s'est alors retournée et assise à nouveau devant son PC. Elle m'a fait un grand sourire en me disant: "I prepared it for you, for the next time we'll meet". Et oui, elle m'offrait son petit cul. Vous imaginez alors mon impatienceà la revoir.

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