Notre vie sexuelle, nos moments intimes, notre rencontre, nos découvertes. Ma vie avec une coquine asiatique qui n'a peur de rien!

samedi 25 février 2012

Un commencement d'exhibitionnisme - 1ère partie


Une fois notre première expérience à trois réalisée, nous avons soufflé un peu, comme si nous avions conscience d’être au bord d’un gouffre, sans notion aucune des conséquences que nous aurions à subir si nous nous y précipitions. Nous avions été aussi loin que nous pouvions, ou tout du moins aussi loin que notre imagination nous avait conduis, à deux. Nous avions réalisé progressivement tout ce qu’un couple peux faire dans l’intimité, fellation, cunnilingus, sodomie, nous nous étions filmés, nous avions utilisé des sextoys, Aiko avait accepté mon sperme sur toute les parties de son corps, sur son visage, dans sa bouche, la seule chose que nous nous refusions de faire était ce qui impliquait l’urine ou pire. Ce n’est pas que nous avions des barrières morales à ce sujet, c’est juste que cela ne nous attirait pas.

Comme nous venions d’inviter une femme dans notre lit, plusieurs suites logiques à nos découvertes sensuelles s’offraient à nous :

- Continuer avec une autre femme, mais cette fois-ci en participant réellement tous les trois, c’est-à-dire que je baiserai aussi la coquine.
- Inviter un autre homme à profiter des charmes de ma jolie japonaise.
- Aller en club libertin et se laisser aller.

Pourtant, nous sommes revenus, pour un temps au moins, à des jeux à deux. Je savais que le tempérament de feu d’Aiko ne pouvait s’exprimer totalement sans y inclure une part d’exhibitionnisme. Nous n’avions jusque là pas franchi le pas dans ce domaine, bien que se mettre en scène pour que je puisse voir en gros plan son visage lors de la première fois où je profitai de son petit cul (cf billets précédents) était, en y réfléchissant bien, un premier pas. Nous regardons d’ailleurs régulièrement ces images, mais nous en gardons un usage strictement privé.

A ce point du récit de notre entrée dans un monde de folies sexuelles, je dois vous avouer une chose. Ma femme et moi, enfin surtout moi tant que ma femme ne maîtrise pas le français à la perfection, sommes des familiers de sites Web d’histoires érotiques, comme Revebebe (je pense d’ailleurs y poster les articles de ce blog, qu’en pensez-vous ?) ou de sites où des amateurs viennent poster leurs vidéos intimes, comme Youporn. Les récits que nous y lisons, ou les films que nous y voyions, nous inspirent et nous donnent des idées pour tenter de nouvelles expériences. Vous pouvez lire sur Revebebe de nombreuses histoires d’exhibitionnisme se déroulant dans des lieux publics : bars, restaurants, jardins publics etc. Nous, nous avons vécus notre expérience à la maison, sans préméditation aucune, ce qui en a, à mon sens, décuplé les effets excitants.

Un dimanche matin, nous étions dans notre appartement à vaquer à nos occupations, moi en jogging et T-shirt, elle en short et débardeur, sans soutien-gorge. Les volets étaient ouverts, mais la forte luminosité et les rideaux tirés de couleur claire ne permettaient sans doute pas aux personnes habitants l’immeuble en face d’avoir vue sur ce qui se passait chez nous. Je passai l’aspirateur, et ma douce faisait la poussière sur les meubles.

A un moment, elle a voulu nettoyer la table basse, et, au lieu de se mettre a genoux pour le faire, comme l’aurait fait n’importe qui, elle est resté bien campée sur ses deux jambes, et a cassé son buste en avant pour dépoussiérer ce meuble, ce qui a eu pour effet mécanique de mettre en évidence son joli cul rebondi.

Nous n’avions pas fait l’amour la nuit précédente et, comment dire, j’avais un début d’érection que cette situation me donnait l’occasion de pouvoir mettre à profit de la plus agréable des manières.

Laissant l’aspirateur tourner pour qu’elle ne m’entende pas, je me suis approché d’elle par derrière, je me suis mis à genoux pour avoir le visage à hauteur de ses fesses, et j’ai mis mes mains sur ses hanches. Sous l’effet de surprise, ses jambes se sont raidies, mais elle s’est bien vite relâchée lorsque j’ai passé mes mains sous l’élastique de son short, et que j’ai commencé à le faire glisser le long de ses jambes. J’ai pu constater que non contente de s’être passée de soutien-gorge, elle s’était aussi passée de porter une petite culotte.

La voilà donc cul nu, les jambes tendues, le buste penché en avant, les deux mains posées à plat sur la table basse. Et moi, heureux homme, à genoux derrière elle, commençant à embrasser ses fesses, tout en passant mon index gauche le long de sa raie offerte. Son léger frémissement quand mon doigt est entré en contact avec ses lèvres intimes m’ont fait comprendre qu’elle n’était pas contre ce petit intermède, bien au contraire. Après quelques va et viens le long de son sexe, j’ai écarté doucement ses fesses pour laisser apparaitre sa jolie chatte, et son petit trou. J’ai alors posé ma langue sur son intimité moite, preuve de son excitation, et je l’ai léchée longuement, passant sans cesse de sa chatte humide à son anus délicieux.

Je me suis régalé de son goût pendant plusieurs minutes, passant ma main sur le côté de son corps pour aller caresser son clitoris, que ma langue avait un peu de mal à atteindre. Mon début d’érection s’est transformé rapidement en solide gaule qu’il devenait urgent de soulager. Après un dernier coup de langue sur son petit trou, je me suis relevé, et je l’ai également relevée. Alors qu’elle voulait se retourner pour, j’imagine, m’embrasser, je l’ai maintenue dos contre mon torse, et, pour ne pas la frustrer, j’ai pris ses seins à pleines mains pour les malaxer fermement. Bien que les femmes asiatiques modernes ne sont pas du tout, comme le veut encore une légende assez couramment répandue, soumises, Aiko aime bien être dominée un peu brutalement quand nous baisons.

Continuant d’une main à profiter au travers de son débardeur de ses craquants petits nichons, je recommençais à passer ma main sur son sexe pour aller titiller son petit bouton. Elle interrompait ses gémissements de « Fuck me ! Please fuck me ! » de plus en plus implorants, en essayant en passant ses mains par derrière de sortir mon sexe de mon jogging. Sans succès.

Je l’ai alors prise par les hanches, tout en collant mon érection encore protégée par le tissu contre ses fesses offertes, et je l’ai poussée vers la fenêtre. Nous voilà marchant difficilement, comme un animal à quatre pattes apprenant à marcher, claudiquant, vers la fenêtre de notre appartement. En arrivant à une cinquantaine de centimètres de notre but, je nous ai arrêtés, et je l’ai faite se pencher en avant, pour prendre appui de ses deux mains sur la chambranle de la fenêtre. Je me suis baissé pour lui offrir une dernier coup de langue sur la chatte, et je me suis relevé.

Je me suis débarrassé de mon jogging et de mon slip en un mouvement, et après avoir parcouru sa fente humide du bout de ma queue, je l’ai vigoureusement pénétrée, lui arrachant un petit « Ah ! », non de surprise car dans la position qui était la sienne, elle devait bien se douter de ce qui allait lui arriver, mais elle n’avait pas du prévoir la violence de ma pénétration.

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