Notre vie sexuelle, nos moments intimes, notre rencontre, nos découvertes. Ma vie avec une coquine asiatique qui n'a peur de rien!

samedi 25 février 2012

Arrivée à Paris

Quelques jours après cette très excitante séance de webcam, Aiko m'a annoncé une autre excellente nouvelle. Elle viendrait une semaine en juin, accompagné d'une amie (prétexte pour ses parents), mais la copine en question, qui était dans la confidence, se débrouillerait seule pour visiter Paris. Aiko et moi aurons bien d'autres choses à faire. :o)

La connaissant, j'étais sûr qu'elle allait me proposer un plan à 3, mais je me trompais. Ce n'est que partie remise. Je suis allée la (les) chercher à Roissy très tôt le matin, levé à 5h, Roissy à7h. Au milieu des passagers, après une quarantaine de minutes d'attente, je vois ma chérie arriver avec sa copine, bien moins jolie qu'elle (finalement, pas de regret pour le plan à trois, quoique ça m'aurait bien fait triper). Elle me saute dans les bras, m'embrasse passionnément, devant sa copine un peu gênée.Visiblement, toutes les japonaises ne sont pas aussi délurées que ma petite salope.

Une fois dans la voiture, Aiko à l'avant et Rie, sa copine, à l'arrière, elle pose sa main sur ma cuisse, et la fait lentement glisser vers mon entrejambe. Elle est à peine là depuis 15 mn, et déjà elle me rend fou. Nous déposons Rie à son hôtel, dans le VIème, vers Odéon, et on file chez moi, dans mon studio du XIXème arrondissement. Durant non longs mois de séparation, nous avions chacun fait le test HIV, pour pouvoir nous affranchir du préservatif, sous toute peu commode (quoique, quand c'est une fille comme elle qui me l'enfile avec sa bouche...ça a ses avantages!).

Là, une fois arrivés chez moi, elle a sorti de sa valise un caméscope numérique dernier cri (pas de pub, mais c'était un Sony), avec le trépied qui va avec.Elle a, comme d'habitude, pensé à tout. Elle s'est déshabillée (en restant toutefois en sous-vêtements), et est allée sous la douche, en m'en interdisant l'accès. Toujours la même tactique, me rendre encore et toujours plus fou.

Après quelques éprouvantes minutes d'attente, elle est ressortie de la salle de bain, toujours en sous-vêtements (d'autres, évidemment), petite culotte helloKitty et soutif blanc en dentelle. Un régal. Je suis allé à mon tout prendre ma douche, pour être propre, frais et dispo pour baiser ma belle.

Quand je suis revenu dans la chambre, Aiko dormait à poings fermés sur ma couette. Il n'y a rien de plus touchant que de regarder la femme qu'on aime dormir, c'est pour cela que je me suis que ce serait une bonne idée de prendre sa caméra pour la filmer, et garder ces images là précieusement. J'ai donc voulu vérifier qu'il y avait une K7.

Il y en avait bien une, mais légèrement entamée. Curieux comme pas deux, je l'ai rembobinée pour la lire. D'abord la salle d'embarquement à Tokyo Narita, où elle a attendu l'avion pour Paris CDG. Ensuite un gros plan d'Aiko, visiblement dans l'avion, la nuit (il faisait sombre, et je n'entendais que le bruit des réacteurs), qui me sussurrait "I can't wait to see you, I have to ease myself."Puis, Aiko dans les toilettes, en contreplongée (vue "de haut").

Elle tenait le caméscope d'une main, à bout de bras, d'où l'image tremblante. De l'autre main,T-shirt et soutif relevés, jean et culotte baissés, elle se branlait. Je vous l'ai dit dans la brève présentation que j'ai fait d'elle, Aiko est une fervente adepte de la masturbation, à la main, avec un gode (on l'a vu précédemment), avec des fruits ou légumes, elle adore se faire jouir. Même dans les périodes où elle baise tous les jours, voire plusieurs fois par jour, il faut qu'elle se branle, c'est plus fort qu'elle.

Son séjour commençait fort.

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