Notre vie sexuelle, nos moments intimes, notre rencontre, nos découvertes. Ma vie avec une coquine asiatique qui n'a peur de rien!

samedi 25 février 2012

Les objets peuvent donner des idées intéressantes


Même avec nos problèmes de couple, j'ai décidé de continuer ce blog, et ainsi poursuivre l'évocation de notre sexualité.

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Un achat compulsif, c'est quand vous achetez quelque chose dont vous n'avez pas besoin, ou que vous ne pouvez pas utliser. Notre lit n'ayant pas de montant, pas de barreau, on peut donc dire que l'achat d'une paire de menottes fut un achat compulsif.

En revanche, nous avons aussitôt utilisé le vibromasseur. A peine rentrée à la maison le soir, Aiko a déballé son "cadeau", l'a lavé, et est allée avec dans la chambre. Elle s'est déshabillée, s'est allongée sur le dos, et après s'être manuellement caressée pour être sûre d'être assez mouillée pour s'introduire le gode, a commencé à le rentrer centimètre par centimètre, en fronçant un peu des sourcils, ce qui m'a fait comprendre que la pénétration n'était pas si facile que ça.

Puis, une fois sa chatte habituée au diamètre, elle à commencé à se branler avec. La voir offerte comme ça, se donner du plaisir avec notre nouveau jouet m'a rendu dingue, j'ai enlevé mon jean, et me suis approché d'elle pour mettre mes genoux de part et d'autre de son visage, et lui mettre ma queue dans la bouche.

Ce n'était pas facile pour elle, concentrée à la fois sur le gode et la fellation que je lui imposais, c'est pour cela que j'ai vite pris mon propre rythme, sortant de temps en temps mon sexe de sa bouche, pour la faire souffler (Aiko, pas mon sexe), et lui badigeonner le visage de mon gland, et recommençant le viol de sa bouche de plus belle.

Quelques minutes ont suffi à me faire exploser dans sa bouche, et me finir sur son visage, dans ses cheveux...décidemment, c'était la journée éjac' faciale! Elle a joui presque en même temps que moi, hurlant sa jouissance au moment où je finissais de me déverser dans ses cheveux. Voilà un objet déjà bien rentabilisé.

Comme je vous l'ai déjà dit, Aiko ne peut pas se passer de la masturbation, aussi remplie soit notre vie sexuelle. Je pourrais m'en offusquer, mais c'est comme cela qu'elle obtenait jusque là ses orgasmes les plus puissants.

Et puis le spectacle de la voir se donner du plaisir, soit en s'éxhibant devant moi, soit en la surprenant dans la salle de bain, dans son bain, est une des plus belles choses qui m'ait été donné de voir.

Non content de devenir le deuxième amour de ma jolie coquine, le gode nous était d'une autre utilité, à savoir figurer un troisième partenaire fictif. Un jour que je la prenais en levrette sur la moquette de notre chambre, je lui tenais les épaules pour rythmer mes coups de rein, elle a tourné son visage, sa bouche grande ouverte, semblant attendre quelque chose.

J'ai libéré une de mes mains,et je lui ai mis deux doigts dans la bouche (le majeur et l'index), qu'elle s'est mise à sucer concenscieusement. J'ai alors eu l'idée d'aller chercher le gode, son "oh" de dépit quand je suis sorti d'elle s'est vite transformé en sourire coquin en me voyant revenir avec le sextoy.

Comme elle n'avait pas bougé, elle était toujours à quatre pattes, son joli cul dressé attendant la pénétration, je suis revenu derrière elle, et j'ai remis ma queue dans son sexe. Une fois le rythme repris, et retrouvés les halètements qui me prouvaient qu'elle commençait à apprécier la séance, je lui ai donné le gode à sucer, comme si un autre homme se tenait devant elle pour lui prendre la bouche pendant que je la baisais par derrière.

Cette évocation m'a tellement excité que j'ai joui d'un coup, et bruyamment. Comme elle n'avait pas eu le temps de jouir de son côté, j'ai repris le gode que je lui ai enfoncé dans la chatte, et je l'ai baisée par objet interposé, jusqu'à son orgasme. Puis on s'est effondré sur la moquette, côte à côte.

Une fois nos esprits repris, nous nous sommes regardés, et visiblement nous pensions à la même chose. Il était temps de passer à l'étape suivante dans notre découverte d'une sexualité de plus en plus débridée (sans mauvais jeu de mots sur l'origine ethnique de ma femme).

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