Notre vie sexuelle, nos moments intimes, notre rencontre, nos découvertes. Ma vie avec une coquine asiatique qui n'a peur de rien!

samedi 25 février 2012

Notre rencontre


Avril 2003. Tokyo. J'ai toujours été attiré par le Japon, je suis incapable de dire pourquoi. Les mangas, le cinéma, même la musique japonaise m'intéressent.Et, plus que tout, les japonaises.

Les femmes asiatiques me fascinent, mais il y a chez les japonaises un je ne sais quoi de spécial, peut-être un mélange de candeur et de perversité, d'innocence et de sexualité. Le sexe est considéré comme une chose naturelle chez les japonais, il n'est pas tabou, la pornographie occupe une place importante de la culture de ce pays. Ce n'est pas un hasard si « L'empire des sens » nous vient de là-bas. Des mangas aux films pour adultes (Japan AV pour Adult Video), du bondage àNobuyishi Araki, célèbre photographe érotique, le Japon est un pays très...chaud!

Chaque année, fin mars ou début avril, les japonais célèbrent la floraison des cerisiers (Sakura) entre allant picniquer sous ces arbres dans les jardins publics. Cela s'appelle Hanami. J'étais au Japon depuis quelques jours, et j'avais rencontré une « correspondante », c'est-à-dire une fille dont j'avais auparavant fait la connaissance sur Internet (j'avais la vague idée de me la faire, mais la suite a complètement bouleversé mes plans initiaux). Eriko, puisque c'était son nom, m'avait proposé d'aller manger avec des amis à elle dans un grand parc de Tokyo, pour célébrer Hanami. Pourquoi pas ?Arrivée sur place, nous avons retrouvé une dizaine d'amis à elle, et parmi ces amis, une très jolie fille, au visage d'ange, Aiko.Petite, comme beaucoup de fille du Soleil Levant, de grands yeux bruns, une petite poitrine (pour ce que j'ai pu en juger ce jour là) et un charme incroyable !

Pour vous donner une idée de ce à quoi elle ressemble (par discrétion, je ne publierai pas de photos, ni d'elle, ni de moi), imaginez Ai Nagase, actrice porno, qui lui ressemble assez...(j'illustrerai d'ailleurs parfois mes récits avec les photos de cette délicieuse jeune femme, Aiko est jalouse, mais elle n'a qu'à m'autoriser à publier ses propres photos, car on en a beaucoup...)

On a tous passé un moment sympa, même si j'était largué la plupart du temps, seuls 3 personnes parlant anglais (Eriko, un garçon nommé Sogo, et, par chance, Aiko). Cette dernière s'est d'ailleurs vite rapprochée de Eriko, et elles ont commencé à parler à voix basse, en pouffant, et en me jetant de furtifs regards de temps en temps. A un moment, Eriko, prétextant devoir parler études avec un des garçons à l'autre bout de notre picnic, s'est éclipsée, me laissant seul avec la belle Aiko.

On a alors commencé à parler de tout et de rien, suffisamment en tout cas pour comprendre qu'on avait envie de se revoir. Vers 19h, au moment de se quitter, Eriko est venue me dire qu'elle devait aller chez le garçon avec qui elle avait parlé pour bosser sur un travail à rendre pour ses études. Je pense que c'était un prétexte pour me laisser avec Aiko, et j'en étais d'ailleurs ravi. Nous voilà donc partis tous les deux.

Mon petit hôtel (petit, oui, car au Japon, se loger coûte horriblement cher...) se trouvait non loin de Shibuya, quartier branché de la capitale, lieu de tous les vices et de toutes les excentricités. Aiko m'a alors proposé, en me regardant dans les yeux, de venir passer la nuit avec moi. J'adore les Japonaises...

Arrivés dans la chambre, elle s'est jetée dans mes bras, m'a roulé une pelle d'enfer...je devenais chaud bouillant! Elle m'a alors demandé d'aller prendre une douche, ce que j'allais naturellement faire même si elle n'en avait pas fait la demande...à peine sous la douche, Aiko est venue me rejoindre.

Après un nouveau baiser langoureux, elle est descendue le long de mon corps, et, après m'avoir jeté un regard plus que coquin, elle a commencé à ma sucer, un peu surprise par la taille de ma bite déjà en érection (non pas qu'elle soit de taille exceptionnelle, mais comme, je l'ai appris plus tard, j'étais son premier occidental, la comparaison avec la taille moyenne du sexes des japonais mâles l'a vraiment surprise).

Là, je l'avoue, je n'ai pas vraiment assuré, car j'ai joui presque tout de suite, tellement j'étais excité, et puis Aiko a de vrais talents de fellatrice. Je suis tout de même reste galant, car je l'ai prévenu avant de jouir, elle a sorti ma bite de sa bouche, m'a branlé un peu et j'ai joui sur ses petits seins adorables.

A la fin de la douche, j'avais exploré tout son corps (1m56), mes mains s'étaient posé sur ses seins, sur son jolie petit cul, et j'avais même mis un doigt dans sa chatte étroite. Elle avait apprécié l'hommage...

Une fois dans la chambre, c'était à mon tour de la faire jouir (ou tout du moins, d'essayer...), tout en gardant le temps de me "remettre en forme". Je l'ai donc léché pendant de longues minutes, ses petits cris me faisant comprendre que j'étais sur la bonne voie (ceux qui ont déjà vu un film de cul japonais savent qu'elles jouissent de manière inimitable et très excitante). Elle a fini par jouir, en me pressant la tête contre sa chatte de ses deux mains. 1-1.

Nous avons discuté un peu ensuite, et nous sommes tombés d'accord pour nous revoir. Mais la nuit n'était pas fini pour autant.

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