Notre vie sexuelle, nos moments intimes, notre rencontre, nos découvertes. Ma vie avec une coquine asiatique qui n'a peur de rien!

samedi 25 février 2012

1+1+1 - 2ème partie


J'étais curieux de voir jusqu'où, en 10 minutes, Aiko avait réussi à pousser Caroline. Je connaissais ma femme, et sa puissance de persuasion pour tout ce qui touchait au sexe, mais je savais aussi que notre amie était plutôt réservée, la monotonie de ses relations sexuelles avec son mari qu'elles nous avait décrite nous le prouvait.

Au bout du couloir, les gémissements que je percevais m'ont laissé entendre que ma petite perverse avait largement pris le dessus sur la réserve de Caroline, ce que me confirmait la vision qui m'apparu lorsque j'ai ouvert la porte de la chambre.

Caroline était sur le lit, asisse, le dos séparé du mur par 3 ou 4 gros oreillers. Son pull voisinait au pied du lit avec son ravissant soutien-gorges en dentelles blanches. Elle avait gardé sa jupe et sa culotte. Aiko était ensoutien-gorge (en coton blanc, pas de quoi sauter au plafond) et slip (en coton blanc aussi). Elle s'occupait avec beaucoup d'enthousiasme des seins de notre amie. Ce que laissait deviner son petit pull moulant vert m'éclatait au visage: elle avait des nichons fabuleux. Pleins, ronds et lourds, avec une charmante petite aréole finie par un mamelon qu'Aiko se faisait un plaire de sucer et de dévorer.

Je suis entré doucement dans la chambre, ne voulant pas rompre le charme de la scène de laquelle j'étais le spectateur hautement privilégié. Malgré mes précautions, Caroline, qui jusque là profitait les yeux clos du ballet de la langue de ma chérie sur ces délicieux tétons, a brusquement ouvert les yeux, dans lesquelles est apparue à ma vue une lueur de panique. Aiko, la sentant sursauter légèrement, a tourné la tête et m'a aperçu. Puis elle m'a fait signe de m'asseoir sur le gros fauteuil dans le coin de la chambre.

Alors, comme pour sécuriser son amie, elle lui a pris la tête entre ses mains pour l'embrasser tendrement. Une fois cette dernière rassurée (je ne sais d'ailleurs pas de quoi elle avait peur? Que je la regarde s'abandonner dans les bras de ma femme, où que je les rejoigne pour participer à la fête), ma femme a ôté son soutif, et a lentement amené les lèvres de sa compagne sur ses jolis petits seins. A ma grande surprise, elle n'a opposé aucune résistance à ma chérie et m'est mise à lui bouffer littéralement les seins, ce qui a naturellement décuplé l'ardeur de ma belle (les seins ont toujours chez elle une zone particulièrement érogène).

Glissant le lont de son torse, Aiko a commençé, en la regardant droit dans les yeux, à lui enlever lentement sa jupe.Une fois celle-ci au pied du lit, elle s'est attaquée à la culotte, en dentelles blanches bien sûr, assortie au soutien-gorges. Et là, le détail qui a fait monter mon excitation de trois crans à la fois, Caroline a soulevé légèrement son bassin, ce qui signifiait sa totale capitulation.

Imaginez la scène. Je suis assis dans un fauteuil, la braguette baissée et le sexe sorti. Une amie de notre couple, une belle femme brune que sa prestance naturelle m'avait toujours dissuadé d'imaginer dans ce genre de situation, est allongée sur le dos sur notre lit, la jupe relevée, la culotte ayant rejoint le reste des vêtements au pied du lit, les jambes écartées, et ma femme, jolie petit bout asiatique dont la perversité n'a pour égal que sa beauté, allongée sur le ventre, le visage à hauteur du sexe brun de notre amie. Une sorte de rêve éveillé!

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