Notre vie sexuelle, nos moments intimes, notre rencontre, nos découvertes. Ma vie avec une coquine asiatique qui n'a peur de rien!

samedi 25 février 2012

Fellation férroviaire


Je devais repartir une semaine plus tard, et comme elle ne pouvait donner le même prétexte à ses parents toutes les nuits, on se voyait la journée. On mangeait un peu, on se baladait pas mal, on baisait beaucoup. Cette fille était, et est toujours pour mon plus grand bonheur, une dingue de sexe.

Une journée, nous sommes allés à Kyoto, par le train (le fameux Shinkansen, le train à grande vitesse japonais). A peine dans le train, elle m'a pris par la main, et m'a entraîné dans les toilettes. Une fois dans l'exigu compartiment, je me suis assis sur le siège, elle s'est agenouillée devant moi, a commencé à me caresser à travers mon jean, tout en me regardant droit dans les yeux. Une fois que j'étais bien en érection, elle a ouvert ma fermeture éclair, s'est penchée en avant, pour souffler lentement sur mon slip déformé par ma queue. J'ai eu l'impression que ça durait une éternité tellement j'étais pressé qu'elle baisse mon slip et enfourne ma bite dans sa bouche. Elle a senti mon impatience (en même temps, il ne fallait pas être sorcier), et en a profité pour faire durer le supplice en déposant de charmants petits baiser sur ma queue au travers de mon slip. Arrrgh...je connaissais les supplices chinois, pas encore les supplices - délicieux supplices - japonais!

Puis, pour abréger mes souffrances (je voudrais bien souffrir comme ça tous les jours, soit-dit en passant), elle a lentement baissé mon sous-vêtement, à nouveau en plantant son regard dans le sien.

Une fois mon slip enlevé, elle s'est redressée pour se faire une queue de cheval avec un élastique, pour éviter que ses cheveux ne la gènent pendant la pipe. J'adore quand elle fait ça. Et puis elle a relevé son pull, et dégrafé son soutien-gorge, elle avait deviné que d'adore caresser les seins d'une femme qui me suçe (ce que je n'avais pas encore fait avec elle). Elle a une adorable petite poitrine, très sensible. C'est une zone très très érogène chez elle, et s'occuper de ses petits nichons suffit à la mettre dans un état proche de l'excitation suprême.

Se penchant à nouveau, elle a parcouru mon sexe du bout de sa langue, sur plusieurs longueurs. Elle a pris chacun de mes testicules tour à tour dans la bouche, pour les sucer un peu. Elle est ensuite remontée peu à peu le long de ma queue, pour finalement prendre le gland dans sa bouche. Elle l'a sucé comme une tétine pendant quelques secondes, et cela presque réussir à me faire partir.

Aiko est une vraie salope, je l'ai compris à ce moment là. Pas une salope au sens vulgaire (une fille qui se fait sauter par tout ce qui a une bite), mais une salope au sens noble du terme, c'est-à-dire une fille faite pour le sexe, qui intuitivement sait comment rendre fou un mec au lit, qui surprend toujours son amant, pour qui le sexe est un art.

Les choses sérieuses ont alors commencé. Elle a lentement rentré ma queue au fond de sa gorge, et a commencé de langoureux va-et-viens, puis a accéléré peu à peu, a ralenti progressivement, alternant ainsi le rythme pendant de nombreuses minutes. De temps en temps, elle la ressortait pour la lécher tout du long, elle descendait jusqu'aux couilles, et ravalait à nouveau ma bite presque en entier (soit sa gorge était profonde, soit ma bite était finalement assez petite...je préfère pencher pour la première solution).

De temps entemps, je passais une main entre ses bras, pour aller malaxer ses seins, et rouler entre mes doigts ses petits tétons bruns. Chacune de mes caresses lui arrachait un gémissement étouffé par ma bite.

Quand elle m'a senti à point, elle s'est levée, et m'a fait lever également. Je pensais qu'elle voulait que je la baise en levrette, et je dois avouer que j'était un peu déçu qu'elle abandonne sa fellation, mais bon, jusque là, elle ne m'avait jamais permis de jouir dans sa bouche, c'était donc logique. Debout face à face dans ces étroites toilettes, elle nous a fait faire un demi-tour, pour nous retrouver chacun à la place de l'autre, elle au dessus des toilettes, et moi devant elle.

Mais au lieu de se retourner pour s'appuyer sur le dossier des chiottes et me présenter son joli petit cul, elle s'est assise sur le siège, a placé ses mains sur mes fesses pour me faire avancer jusqu'à ce que ma queue se retrouve à nouveau dans sa bouche, puis elle m'a pris la main droite pour la mettre sur sa nuque. J'ai compris qu'elle voulait maintenant que j'impose mon propre rythme, que je lui baise la bouche. Une perle, je vous dis.

J'ai alors commencé a aller et venir dans sa bouche, mais après quelques dizaines de secondes de ce traitement, j'ai senti que ma résistance arrivait à son terme. J'ai donc voulu sortir de sa bouche, mais, de ses deux mains fermement agrippées à mes fesses, elle m'a fait comprendre que je pouvais aller jusqu'au bout. Je pense qu'à ce moment là, mon érection a du prendre 2 nouveaux centimètres. Quelle bombre, cette petite!

Je me suis alors complètement lâché, et après quelques secondes, j'ai explosé dans sa bouche, lui envoyant de longues rasades de sperme au fond de la gorge, qu'elle essayait vaillamment d'avaler au fur et à mesure que je jouissais.Une fois que plus rien ne sortait de ma queue, toujours dans sa bouche, elle a passé sa langue sur toute la longueur, lentement, accompagnant ma débandaison de ses douces caresses buccales. Elle m'a alors remis la queue dans le slip, a remonté mon pantalon, a remis son soutien-gorge, s'est levée, m'a souri et est sortie des toilettes.

J'ai mis quelques secondes pour réaliser le moment fabuleux que je venais de vivre, et, au moment où je m'apprétais à sortir des toilettes, une vieille dame tentait d'y entrer. Quand elle m'a vu sortir, j'ai senti un regard accusateur se poser sur moi et, pour tout vous dire, j'étais plutôt gêné, mais bon, le jeu en valait la chandelle.

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