Notre vie sexuelle, nos moments intimes, notre rencontre, nos découvertes. Ma vie avec une coquine asiatique qui n'a peur de rien!

samedi 25 février 2012

Chose promise, chose due


La semaine est passée hyper vite, entre nos balades dans Paris (le Pont des Arts, le Louvres, Montmartre, le Belvédère du parc des Buttes-Chaumont. Tous les endroits romantiques!) et nos séances de cul (moins romantique, mais aussi délectables). Mais de sodomie point. Je ne vais pas dire que ça m'obsédait, mais depuis sa séance de "je me mets un doigt dans le cul pour te faire comprendre que j'aimerais bien que tu m'encules", je ne pensais pratiquement qu'à ça, et je me chargeais d'ailleurs de lui faire comprendre.

A chaque fois que nous baisions, et que je la léchais, je risquais ma langue sur son anus, quand je la caressais, j'y glissais un bout de doigt, mais elle repoussait ma main à chaque fois. Pour la première fois je me surpris à penser qu'Aiko était peut-être, par certains côtés, une diabolique allumeuse.

Le dernier jour de ses vacances, elle me demanda d'aller au cinéma l'après-midi, mais sans elle. Ca me mit un peu en rogne, car je ne voulais pas perdre une minute des derniers moments avec elle. Mais elle se fit convaincante (peut-être le fait qu'elle avait ma bite dans la bouche au moment de me le demander m'a-t-il aidé à être plus malléable).

Le jour dit, j'allais donc au cinéma, avec pour consigne formelle de ne pas rentrer avant 20h. De retour chez moi vers 20h20, je la trouvais nue sur le lit, entourée de bougies, à quatre pattes, le visage face au caméscope (comme je n'avais pas pris mes clés, j'ai du sonner à l'interphone pour qu'elle m'ouvre, comme cela elle a pu se mettre "en position" pour le moment où je suis entré dans l'appartement).

Je fis le tour du lit, pour l'embrasser, et lui demander pourquoi elle avait mis la caméra face à son visage d'ange. Elle me répondit qu'elle voulait voir ses souffrances quand je lui rentrerai ma queue dans les fesses. Délicieux, non? Je me déshabillais en 4 secondes chrono, et venais derrière elle. Elle avait pris soin de mettre un tube de gel sur la table de nuit, elle pense vraiment àtout!

Je me suis d'abord agenouillé derrière elle, pour lui parcourir la rondelle du bout de ma langue. Quand elle a été bien humectée, j'ai commencé à entrer un doigt doucement, le petit doigt pour être précis. Instinctivement, elle a eu un mouvement pour se dérober, mais de la main droite passée sous son ventre, je l'ai reculée brutalement, ce qui a eu pour effet de rentrer mon doigt, que j'avais au préalable enduite de gel tout comme son trou du cul, d'un peu plus d'un centimètre. J'ai vu sur son visage à ce moment là un mélange de souffrance, ses sourcils se sont froncés, d'étonnement devant ma brusquerie et de contentement. Elle aime être "malmenée", gentiment , j'allais m'en rendre compte très vite.

J'ai oubliéde vous dire que, dans son installation, elle avait branché le camescope sur la télé, de façon que je puisse voir les émotions sur son visage pendant son dépucelage anal. Elle, de son côté, ne pouvait voir la télé. Profitant de ce moment, j'ai enfoncé plus loin, sur environ 5 centimètres, mon doigt dans son cul, et j'ai attendu quelques secondes. Sa respiration se faisait plus lourde, sa bouche était ouverte, elle accusait le coup.Puis j'ai remué mon petit doigt, de façon circulaire, pour habituer l'étroit tunnel à cette présence non naturelle. Elle accompagnait ces mouvements de bassin similaires, elle commençait à apprécier la pénétration.

J'ai ressorti alors lentement mon doigt, pour le réenfoncer, et ce 4 ou 5 fois de suite. J'ai changé de doigt, pour cette fois lui mettre le majeur, qui est rentré assez facilement, premier signe d'une fille qui va aimer la sodomie, son anus s'habitue vite à des diamètres de plus en plus gros (pas trop quand même, il nefaut rien exagérer).

J'ai entré et sorti mon doigt plusieurs fois, pendant une à deux minutes, et elle a commencé à gémir peu à peu.C'est elle qui a arrêté ses préliminaires, en me retirant la main qui était plongée entre ses fesses. Un peu surpris, j'ai eu un mouvement de recul. Elle s'est alors appuyé du côté gauche de la tête sur le lit, libérant ainsi ses mains qu'elle a posées sur ses fesses, et les écarter laissant son trou du cul bien ouvert à la future pénétration. "Put your dicknow in my ass, I'm ready, and fuck me hard!". Elle adore parler cru quand on baise, ou même avant qu'on baise, et ça m'excite à mort.

Je me suis redressé, j'ai avancé mon bassin pour être en contact avec son cul, et je l'ai pénétrée fermement, sans brutalité mais sans hésitation. Elle a eu un râle, mêlé de souffrance et de plaisir. La suite est banale, je l'ai enculée pendant une dizaine de minutes, elle s'est redressée pour reprendre appui sur ses mains, pour que je vois son visage d'ange face caméra pendant qu'elle se faisait prendre par derrière.

Je lui caressais les seins, la prenais par les épaules pour lui donner de violents coups de rein. Je me suis même penché en avant, pour tourner sa tête vers le côté et lui enfourner un doigt dans la bouche, qu'elle a sucé comme une bite. Je me suis alors pris à imaginer un autre homme lui baisant la bouche par devant, lui maintenant la bite au fond de la bouche en mettant sa main sur sa nuque, jusqu'à lui éjaculer au fond de la gorge.

J'ai joui rapidement, en m'enfonçant une dernière fois dans son cul, on a du m'entendre dans tout l'immeuble. Elle, de son côté, elle me l'avoua après, n'a pas joui, mais a adoré cette séance anale, et m'a promis de m'offrir son charmant joli petit cul très régulièrement. Une vraie chienne en chaleur, cette asiatique! Je ne sais pas si il y en a beaucoup comme ça au Japon, mais dans ce cas, j'aimerais bien rencontrer ses copines! :o)

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